Quel budget prévoir pour la construction d’une maison neuve ?

Se lancer dans la construction d’une maison neuve n’est pas une mince affaire. Il faut donc au préalable bien fixer sa capacité d’emprunt avec un conseiller financier, puis faire en sorte de bien estimer ses dépenses, poste par poste, pour ne négliger aucun détail.

Comment bien déterminer sa capacité d’emprunt ?

Préalablement à tout projet, il faut avant tout déterminer le budget que l’on est prêt à y consacrer. Ce chiffre tiendra compte des revenus du foyer et de leur évolution prévisionnelle, mais aussi des charges, telles que les prêts déjà en cours. L’apport personnel et la capacité à épargner sont aussi extrêmement importants à prendre en compte.

Par ailleurs, il convient de se renseigner sur les prêts bonifiés auxquels on peut être éligible, tels que les prêts patronaux à 1%, ou bien encore le Prêt à Taux Zéro. Il est conseillé de se garder une marge de progression et de ne pas emprunter au maximum de l’endettement autorisé.

Cette marge de manœuvre permet de pallier les imprévus qui pourront se présenter en cours de chantier ou après. Il ne faut également pas omettre de prendre en compte les futurs projets, comme l’achat d’un nouveau véhicule, ou le financement des vacances par exemple.

Les dépenses à prendre en compte dans le prix d’une construction

Les principaux postes à prendre en compte au moment d’évaluer le prix d’une maison sont les suivants:

  • Le coût du terrain: il comprend le coût du terrain en lui-même, ainsi que les frais de raccordement et de viabilisation, et éventuellement les frais de géomètre. Si vous passez par une agence, il ne faut pas omettre de comptabiliser les honoraires. Enfin, il faut prendre en compte les frais de notaire. A cela il convient d’ajouter les diverses taxes, comme la TLE (taxe locale d’équipement), et la taxe foncière réclamée à tous les propriétaires de biens immobiliers.
  • Le coût de la construction: il comprend le prix de la maison en elle-même, les cotisations d’assurance dommage-ouvrages, ainsi que les coûts annexes tels que les sols, les peintures et les divers aménagements intérieurs et extérieurs.
  • Le prêt bancaire: un crédit immobilier a un coût, et pas uniquement au niveau des intérêts. Il faut également prendre en considération le coût de l’assurance emprunteur, les frais de dossier, ainsi que les frais de garantie. La banque prêteuse peut en l’occurrence opter pour un cautionnement, ou bien une garantie réelle telle qu’un privilège de prêteur de deniers ou une garantie hypothécaire.
  • Le coût du terrain: il comprend le coût du terrain en lui-même, ainsi que les frais de raccordement et de viabilisation, et éventuellement les frais de géomètre. Si vous passez par une agence, il ne faut pas omettre de comptabiliser les honoraires. Enfin, il faut prendre en compte les frais de notaire. A cela il convient d’ajouter les diverses taxes, comme la TLE (taxe locale d’équipement), et la taxe foncière réclamée à tous les propriétaires de biens immobiliers.
  • Le coût de la construction: il comprend le prix de la maison en elle-même, les cotisations d’assurance dommage-ouvrages, ainsi que les coûts annexes tels que les sols, les peintures et les divers aménagements intérieurs et extérieurs.
  • Le prêt bancaire: un crédit immobilier a un coût, et pas uniquement au niveau des intérêts. Il faut également prendre en considération le coût de l’assurance emprunteur, les frais de dossier, ainsi que les frais de garantie. La banque prêteuse peut en l’occurrence opter pour un cautionnement, ou bien une garantie réelle telle qu’un privilège de prêteur de deniers ou une garantie hypothécaire.